Prêt à conquérir le Monde #1 - Seppe

« Les gens doivent comprendre que si tu travailles dur, tu peux gagner plus d’argent en commission (..). Tout est question d’engagement au travail et savoir ce que tu veux et pourquoi tu le fais. »

Après seulement 6 mois en tant que BA, Seppe d’Anvers atteint ses objectifs de profit et de développement l’un après l’autre. Cet ancien coach de fitness, qui travaille aujourd’hui en commission, ne retournerait pour rien au monde à une fonction d’employé : « Les gens doivent comprendre que si tu travailles dur, tu peux gagner plus d’argent en commission que ce que la plupart des gens gagnent dans ce pays. Tout est question d’engagement au travail et savoir ce que tu veux et pourquoi tu le fais. »

Si la plupart des critiques soulèvent les questions de risque et de sécurité de l’emploi, pour Seppe c’est une raison encore plus importante de se tourner vers la commission : « Quand tu travailles sur commission, tu ne dépends que de toi-même, tu ne peux pas être licencié et c’est à toi de passer la vitesse supérieure. Il est évident que certains jours seront plus difficiles que d’autres mais c’est une bonne chose car c’est souvent lors de ces jours-là qu’on apprend le plus et ce sont les jours les plus motivants. Je compare souvent ce que l’on fait à un Marathon : à un moment tu te dis peut-être que tu n’arriveras jamais à la ligne d’arrivée, mais à cet instant ce n’est déjà plus une question de physique mais bien de mentalité, si tu crois en toi, tu finiras et tu y arriveras. Ensuite tu as les bons jours où tu doubles ou triples le montant que tu fais normalement en une journée : on n’est pas seulement une industrie basée sur le résultat mais une industrie basée sur les processus, si tu suis les systèmes correctement, tu n’auras plus de mauvais jours, ou alors très rarement. »

Les BAs travaillent dur, ce n’est pas un secret, mais ce ne veut pas dire qu’ils ne se récompensent pas lorsqu’ils atteignent de nouveaux objectifs : « Mon truc quand j’atteins un de mes objectifs c’est d’acheter une nouvelle cravate, c’est pas comme si on attendait simplement un salaire, on travaille dur donc on a besoin de se récompenser et quand j’ouvre mon armoire et que je vois toutes mes cravates, je suis fier de tout ce qui a été accompli. »